Non à l'extension de l'obligation vaccinale
Pétition à la ministre de la Santé
93384
signatures
Le compteur est mis à jour toutes les semaines
La ministre de la Santé Agnès Buzyn, soutenue par le Premier Ministre, a voulu étendre l’obligation vaccinale pour nos enfants, en passant de 3 vaccins à 11 obligatoires d'ici 2018. La loi est passée en novembre 2017.
Disons le tout net : obliger des parents à voir 11 vaccins (diphtérie, tétanos, poliomyélite, coqueluche, rougeole, oreillons, rubéole, hépatite B, haemophilus influenzae B
pneumocoque, méningocoque C) injectés à leurs enfants dès le plus jeune âge, sans avoir leur mot à dire, n’a rien d’une évolution de société. Une telle vaccination massive et à marche forcée est un véritable hold-up sur notre liberté individuelle et notre santé !
-
Des vaccins controversés ou à l’efficacité mal démontrée (rougeole, hépatite B, méningocoque C…) deviennent obligatoires. Or, on ne compte plus les accidents post-vaccinaux ou les signalements d’effets indésirables graves, voire mortels, et les procès intentés par les victimes ou leur famille se multiplient.
-
Personne ne connaît aujourd’hui l’impact à moyen et long terme d’un bombardement de 11 vaccins sur le système immunitaire immature de jeunes enfants. Plusieurs études ainsi que des données des laboratoires ont déjà montré l’augmentation significative des accidents neurologiques liés à l’injection simultanée de plusieurs vaccins. Avec sa proposition, Agnès Buzyn joue aux apprentis sorciers.
-
Chaque enfant réagit différemment à chaque vaccin. Leur imposer autant de vaccins sans prendre en compte leurs particularités, c’est prendre des risques imprévisibles quant à leur santé.
Non seulement cette loi va à l’encontre des règles minimales de sécurité sanitaire, mais elle viole également nos libertés fondamentales. Alors que la grande majorité des pays européens n’ont pas d’obligations vaccinales, sans conséquences sanitaires notables, le Parlement a même déclaré l’obligation vaccinale anticonstitutionnelle.
À contre-courant de ces pays soucieux des libertés individuelles, notre ministre de la Santé et nos parlementaires font fi de la défiance justifiée des Français envers les vaccins. Alors qu’on parle tant aujourd’hui de conflits d’intérêts et de moralisation de la vie publique, il est urgent de préférer la transparence et le dialogue avec les Français aux cadeaux offerts aux laboratoires pharmaceutiques.
Nous réclamons :
-
Que la France, en accord avec la loi Kouchner du 4 mars 2002, s’inspire du modèle suédois et s’oriente vers la liberté de choix et une approche individualisée de la vaccination.
-
Que des données épidémiologiques nationales transparentes et accessibles aux citoyens, évaluent objectivement les besoins et l’efficacité clinique de chaque vaccination. Agnès Buzyn a justifié par exemple sa proposition par le nombre, qu’elle juge important, des cas de rougeole depuis 2008. Or, non seulement le nombre de cas réels et évitables est très réduit, mais l'idée même qu'on pourrait se prémunir de la rougeole en augmentant la couverture vaccinale ne tient pas compte de certaines réalités épidémiologiques. C’est l’utilité même de ce vaccin qu’il faut remettre en cause plutôt que vouloir l’imposer de force à un nombre toujours plus grand de personnes.
-
L’analyse objective des risques neurologiques, psychiatriques, articulaires et musculaires éventuellement associés, qui pourraient être liés, comme le montrent certaines études scientifiques, aux différents types d’adjuvants.
-
Le recensement de la présence de nanoparticules métalliques non déclarées dans les vaccins. Une nouvelle étude des docteurs Gatti et Montanari, du laboratoire italien Nanodiagnostics révèle la présence inexpliquée, et jamais signalée par les laboratoires, de plus d’une vingtaine de nanocomposants toxiques dans des vaccins courants, y compris dans certains des vaccins devenus obligatoires avec la nouvelle loi. Rappelons qu’actuellement 700 familles françaises ont assigné en justice le laboratoire CSP, distributeur du vaccin Meningitec, du fait de symptômes très préoccupants après la vaccination (fièvre, douleurs, diarrhée, problèmes oculaires graves). Or, si on a rapidement attribué le problème à des « lots défectueux », la députée européenne écologiste Michèle Rivasi rappelait qu’il se pourrait que le problème vienne du vaccin lui-même : en effet, Nanodiagnostics déclare avoir observé la présence dans ce vaccin d’acier inoxydable, de plomb, de titane et de zirconium.
-
De revoir l’âge de la nécessité vaccinale et de mieux évaluer les risques d’associer chez le nourrisson des vaccins combinés, pour certains d’efficacité mal démontrée, et qui ne sauraient donc être rendus obligatoires. Ceci implique une étude plus poussée des réponses immunitaires générales et cérébrales des nourrissons, soumis à plusieurs vaccinations simultanées, alors que les réponses de leur système immunitaire ne sont pas matures et sont encore mal connues à cet âge. La littérature scientifique et l’expérience des pédiatres confirment que plus est important le nombre de vaccins administrés simultanément et plus l’enfant est jeune, et plus sont importants les risques d’effets secondaires. Il en va aussi du bon sens : jamais dans la nature ne se manifestent simultanément 6 ou 7 pathologies infectieuses et l’organisme n’est ni préparé ni apte à gérer une telle éventualité !
-
L’arrêt de l’uniformisation des pratiques au nom du principe de la vaccination de masse et une meilleure prise en compte de la particularité des individus, à la fois en termes d’exposition réelle aux risques et en termes de terrain immunitaire lié à l’extrême variabilité du système HLA propre à chaque individu. Sans même évoquer l’efficacité du vaccin contre l’hépatite B et ses risques sur la santé, quel est le sens de vacciner un jeune enfant contre une maladie sexuellement transmissible ? Un acte médical responsable doit rester personnalisé pour évaluer le rapport bénéfice/risque pour chaque individu particulier. Les patients ne sont pas de potentielles « marges d’erreurs » dans des statistiques de santé publique, ils sont des citoyens libres qui doivent pouvoir consentir, de manière libre et éclairée, à un traitement à partir d’une information fiable et transparente.
Depuis près de 40 ans, le magazine Alternative Santé défend votre libre choix thérapeutique.
Dés 1982, nous exprimions nos doutes sur l’utilité du BCG. En 1995, nous alertions sur les risques du vaccin contre l’hépatite B, ce qui a contribué à sa suspension dans les collèges en 1998. Dans les années 2000 nous avons soutenu activement les victimes de la myofasciite à macrophages et avons notamment mis en garde sur les risques du Gardasil.
Aujourd’hui encore, notre santé est en danger et notre détermination mise à l’épreuve. Chacun de vous peut agir en signant cette pétition et en la faisant circuler auprès du plus grand nombre.
SIGNEZ ET PARTAGEZ CETTE PÉTITION CI-DESSOUS.
ou
Remplissez la version imprimable en suivant ce lien
Nous nous engageons à préserver votre anonymat et votre nom ou adresse mail n'apparaitra pas dans les signataires
(Pour faciliter l'enregistrement, merci d'éviter le copier/coller dans la saisie du formulaire)
Soutenir :
- La Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations : depuis 1954, elle mène un travail précieux d’information et de défense de nos droits à la liberté vaccinale : www.infovaccin.fr
-- Le travail constant de lanceurs d’alerte de la députée Michèle Rivasi sur les risques de santé et environnementaux : www.michele-rivasi.eu
- L’association Revahb, qui recense toujours les victimes des vaccins contre l’hépatite b : www.revahb.fr
Mentions légales :
Les informations recueillies sur ce formulaire sont enregistrées dans un fichier informatisé par Ginkgo Media - Santé Port Royal pour la signature de la pétition « Non à une campagne massive de vaccination forcée ». Elles sont conservées pendant 3 ans et sont destinées uniquement à l'auteur de cette pétition. Les informations de suivi de la pétition pourront être consultées en cas d’inscription à la newsletter Alternative Santé.
Conformément à la loi « informatique et libertés » vous pouvez exercer votre droit d'accès aux données vous concernant et les faire rectifier en contactant : Ginkgo Media - Santé Port Royal par courrier : 101, rue de patay 75013 Paris ou par email : petition@ginkgomedia.fr
Les fichiers de données Ginkgo Media - Santé Port Royal ont été déclarés auprès de la CNIL sous le numéro : 682444
Premiers signataires
La Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations
Le Réseau Vaccin Hépatite B
(REVAHB)
L'Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante
(AIMSB)
Association Info Vaccins France
Michèle Rivasi
(députée européenne EELV, biologiste normalienne et agrégée, co-auteure de "Le racket des laboratoires pharmaceutiques et comment en sortir")
Serge Rader
(pharmacien lanceur d'alerte, co-auteur de "Le racket des laboratoires pharmaceutiques et comment en sortir" )
Jean-Pierre Joseph
(avocat, auteur de "Vaccins. On nous aurait menti ?")
Guy Kastler
(paysan, membre de la Confédération Paysanne et co-auteur de "OGM, sécurité, santé : ce que la science révèle et qu'on ne nous dit pas")
Jean Elmiger
(médecin homéopathe, auteur de " La médecine retrouvée " et " Maladies auto-immunes")
Michel de Lorgeril
(Docteur en médecine, chercheur au CNRS)
Eric Menat
(médecin spécialisé phyto- nutrition)
Philippe Autrive
(avocat au Barreau de Paris, conseil pour des victimes de vaccins)
Marc Perez
(médecin ostéopathe, acupuncteur et phytotherapeuthe)
Georges Yoram Federman
(psychiatre, auteur de "Divan du monde")
Nicole Delepine
(pédiatre, oncologue, ancien chef de service de cancérologie pédiatrique APHP)
Gérard Delepine
(Chirurgien pédiatre, statisticien, co-auteur avec Nicole de Delepine de "Soigner ou obéir ? Premières mesures urgentes pour éviter le naufrage")
Patrick Shan
(ethnomédecin, directeur du CEDRE)